Le licenciement verbal est à proscrire

L’employeur qui téléphone au salarié pour lui annoncer sa décision de le licencier le jour même où il expédie la lettre notifiant la rupture prend le risque d’une requalification en licenciement verbal, et donc abusif. Le juge saisi du litige doit alors mener un travail d’enquête, pour établir la chronologie des faits.

Cass. soc. 28-09-2022 n°21-15606

Licenciement abusif: le barème macron s'impose au juge dans tous les cas
Forfait jours et heures supplémentaires: incompatibilité